Je préfère vivre en optimiste et me tromper, que vivre en pessimiste pour la seule satisfaction d'avoir eu raison.

Citation sur la motivation de Milan Kundera :

Je préfère vivre en optimiste et me tromper, que vivre en pessimiste pour la seule satisfaction d'avoir eu raison.

Milan Kundera est l'auteur de la citation sur la motivation "Je préfère vivre en optimiste et me tromper, que vivre en pessimiste pour la seule satisfaction d'avoir eu raison.".
Milan Kundera est également l'auteur des citations :

• L'assommant primitivisme rythmique du rock : le battement du coeur est amplifié pour que l'homme n'oublie pas une seconde sa marche vers la mort.
• Je préfère vivre en optimiste et me tromper, que vivre en pessimiste pour la seule satisfaction d'avoir eu raison.
• Je passe mon temps à rêver d'un univers où l'homme ne viendrait pas au monde parmi des étrangers mais parmi ses frères.
• La mort devient réelle quand elle commence à pénétrer à l'intérieur de l'homme par les fissures du vieillissement.
• Le lyrisme est une ivresse et l'homme s'enivre pour se confondre plus facilement avec le monde.
• Le sondage est devenu une sorte de réalité supérieure ; ou pour le dire autrement, il est devenu la vérité.
• Les biographes ne connaissent pas la vie sexuelle de leur propre épouse, mais ils croient connaître celle de Stendhal ou de Faulkner.
• Le temps humain ne tourne pas en cercle mais en ligne droite. C'est pourquoi l'homme ne peut être heureux puisque le bonheur est désir de répétition.
• La parodie n'est-elle pas le destin éternel de l'homme ?
• Les extrêmes marquent la frontière au-delà de laquelle la vie prend fin, et la passion de l'extrémisme, en art comme en politique, est désir déguisé de mort.
• L'érotisme, commercialement, est une chose ambiguë car si tout le monde convoite la vie érotique, tout le monde aussi la hait comme la cause de ses malheurs, de ses frustrations, de ses envies, de ses complexes, de ses souffrances.
• Il en va de l'érotisme comme de la danse : l'un des partenaires se charge toujours de conduire l'autre.
• La mort a un double aspect : elle est le non-être. Mais elle est aussi l'être, l'être atrocement matériel du cadavre.
• Le sens de la vie c'est justement de s'amuser avec la vie.
• C'est toujours ce qui se passe dans la vie : on s'imagine jouer son rôle dans une certaine pièce, et l'on ne soupçonne pas qu'on vous a discrètement changé les décors, si bien que l'on doit, sans s'en douter, se produire dans un autre spectacle.
• Il n'y a pas pire châtiment, pire horreur que de transformer un instant en éternité, d'arracher l'homme au temps et à son mouvement continu.
• Nous vivons de plus en plus dans l'oubli de l'être. Reconstituer cette sensibilité à la vie, cette attention aux coïncidences, tel est aussi le sens du roman.
• La politique, c'est l'écume sale sur la surface de la rivière, alors qu'en fait la vie de la rivière s'accomplit à une bien plus grande profondeur.
• L'homme ne peut jamais savoir ce qu'il faut vouloir car il n'a qu'une vie et il ne peut la comparer à des vies antérieures ni la rectifier dans des vies ultérieures.
• Le roman naît de vos passions personnelles mais il ne peut réellement prendre son essor que lorsque vous avez coupé le cordon ombilical avec votre vie et que vous commencez à interroger non pas votre vie mais la vie même.
• Avoir un enfant, c'est manifester un accord absolu avec l'homme. Si j'ai un enfant, c'est comme si je disais : je suis né, j'ai goûté à la vie et j'ai constaté qu'elle est si bonne qu'elle mérite d'être multipliée.
• L'amitié est indispensable à l'homme pour le bon fonctionnement de sa mémoire. Se souvenir de son passé, le porter toujours avec soi, c'est peut-être la condition nécessaire pour conserver, comme on dit, l'intégrité de son moi.
• Voilà la vraie et seule raison d'être de l'amitié : procurer un miroir dans lequel l'autre peut contempler son image d'autrefois qui, sans l'éternel bla-bla de souvenirs entre copains, se serait effacée depuis longtemps.
• Le plus grand malheur de l'homme, c'est un mariage heureux. Aucun espoir de divorce.
• Le présent, ce point invisible, ce néant qui avance lentement vers la mort.
• Les originaux ont une assez belle vie quand ils réussissent à faire respecter leur originalité.
• L'acte de mort possède sa propre sémantique, et il n'est pas indifférent de savoir de quelle façon un homme a trouvé la mort, et dans quel élément.
• La beauté est l'abolition de la chronologie et la révolte contre le temps.
• Ce qui distingue l'autodidacte de celui qui a fait des études, ce n'est pas l'ampleur des connaissances, mais des degrés différents de vitalité et de confiance en soi.
• L'homme, à son insu, compose sa vie d'après les lois de la beauté jusque dans les instants du plus profond désespoir.
• Ne pouvoir vivre qu'une vie, c'est comme ne pas vivre du tout.
• Lorsqu'une femme ne vit pas suffisamment avec son corps, le corps finit par lui apparaître comme un ennemi.