J'aime passionnément le mystère, parce que j'ai toujours l'espoir de le débrouiller.
Citation sur la vie de Charles Baudelaire :J'aime passionnément le mystère, parce que j'ai toujours l'espoir de le débrouiller.
Charles Baudelaire est l'auteur de la citation sur la vie "J'aime passionnément le mystère, parce que j'ai toujours l'espoir de le débrouiller.".
Charles Baudelaire est également l'auteur des citations :
- La superstition est le réservoir de toutes les vérités.
- La modernité, c'est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l'art, dont l'autre moitié est l'éternel et l'immuable. Il y a eu une modernité pour chaque peintre ancien.
- Pour digérer le bonheur naturel comme l’artificiel, il faut d’abord avoir le courage de l’avaler.
- Ne mépriser la sensibilité de personne. La sensibilité de chacun, c'est son génie.
- Tuer le Temps qui a la vie si dure, et accélérer la Vie qui coule si lentement.
- Bien qu'on ait du coeur à l'ouvrage. L'Art est long et le temps est court.
- Allons au fond de l'inconnu pour trouver du nouveau.
- Il est malheureusement bien vrai que, sans le loisir et l'argent, l'amour ne peut être qu'une orgie de roturier ou l'accomplissement d'un devoir conjugal.
- Souviens-toi que le Temps est un joueur avide Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c’est la loi.
- C'est la mort qui console, hélas ! et qui fait vivre.
- Pour n’être pas les esclaves martyrisés du Temps, enivrez-vous, enivrez-vous sans cesse ! De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise.
- Tout homme qui n'accepte pas les conditions de la vie, vend son âme.
- Il y a autant de beautés qu'il y a de manières habituelles de chercher le bonheur.
- On ne peut oublier le temps qu'en s'en servant.
- O douleur ! O douleur ! Le Temps mange la vie, Et l’obscur Ennemi qui nous ronge le coeur Du sang que nous perdons croît et se fortifie !
- La vie a une fin, le chagrin n'en a pas.
- Celui-là seul est l'égal d'un autre, qui le prouve, et celui-là seul est digne de la liberté, qui sait la conquérir.
- Plus encore que la vie La mort nous tient souvent par des liens subtils.
- Il est bon d'apprendre quelquefois aux heureux de ce monde, qu'il est des bonheurs supérieurs aux leurs, plus vastes et plus raffinés.
- Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit.