Les connaissances nous suivent tout le reste de notre vie, nous sont toujours utiles, et quelquefois, nous consolent de bien des peines.
Citation sur la vie de Stendhal :Les connaissances nous suivent tout le reste de notre vie, nous sont toujours utiles, et quelquefois, nous consolent de bien des peines.
Stendhal est l'auteur de la citation sur la vie "Les connaissances nous suivent tout le reste de notre vie, nous sont toujours utiles, et quelquefois, nous consolent de bien des peines.".
Stendhal est également l'auteur des citations :
- De tout temps et dans toute espèce d'avantages, on met plus de passion à obtenir ce qu'on n'a pas qu'à conserver ce qu'on a.
- Je ne veux désormais que collectionner les moments de bonheur.
- Les peuples n'ont jamais que le degré de liberté que leur audace conquiert sur la peur.
- Cent ans après sa mort, le plus grand bonheur qui puisse arriver à un grand homme, c'est d'avoir des ennemis.
- La plupart des hommes ont un moment dans leur vie où ils peuvent faire de grandes choses, c'est celui où rien ne leur semble impossible.
- Les biographes ne connaissent pas la vie sexuelle de leur propre épouse, mais ils croient connaître celle de Stendhal ou de Faulkner.
- Il n'y a pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va.
- Pourquoi parler ? Pourquoi se mettre en communication avec cet éteignoir de tout enthousiasme et de toute sensibilité : les autres ?
- Quand une idée se saisit trop de moi au milieu de la rue, je tombe.
- A vouloir vivre avec son temps, on meurt avec son époque.
- Dans les arts rien ne vit que ce qui donne continuellement du plaisir.
- La beauté n’est que la promesse du bonheur.
- Il n’y a qu’une loi en sentiment, c’est de faire le bonheur de ce qu‘on aime.
- Il est difficile de ne pas s'exagérer le bonheur dont on ne jouit pas.
- J'ai trouvé ces jours-ci beaucoup de vérités, entre autres, celle-ci : plus un homme est sot, plus il est de niveau avec le monde.
- Je tremble toujours de n'avoir écrit qu'un soupir, quand je crois avoir noté une vérité.
- Un roman est comme un archet, la caisse du violon qui rend les sons, c’est l’âme du lecteur.
- Les choses qu'il faut aux arts pour prospérer sont souvent contraires à celles qu'il faut aux nations pour être heureuses.
- La passion peut se comparer à la loterie : duperie certaine et bonheur cherché par les fous !
- Jamais une femme ne peut ressentir d'amitié pour une autre femme du même âge qu'elle.
- Il faut secouer la vie ; autrement elle nous ronge.
- Tous les arts sont fondés sur un certain degré de fausseté.
- Dans l'excès du bonheur lire est bien difficile, cependant on s'ennuie à la longue si l'on ne lit pas.
- Ce n'est pas tant d'être riche qui fait le bonheur, c'est de le devenir.
- Qu’une femme sage ne se donne jamais la première fois par rendez-vous. Ce doit être un bonheur imprévu.
- Dans tous les partis, plus un homme a d'esprit, moins il est de son parti.
- Le plus grand bonheur que puisse donner l'amour, c'est le premier serrement de main d'une femme qu'on aime.
- Un peu de passion augmente l’esprit, beaucoup l’éteint.
- Hélas ! Rien n'annonce le génie, peut-être l'opiniâtreté est-elle un signe.
- Avoir toujours devant les yeux cette grande vérité, que le succès est pour qui fait rire.
- Je ne puis pas encore m'expliquer aujourd'hui, Ã cinquante-deux ans, la disposition au malheur que me donne le dimanche.
- Il n'est pas donné à un seul être humain d'avoir à la fois tous les talents.
- Puisque la mort est inévitable, oublions-la.
- J’appelle caractère d’un homme sa manière habituelle d’aller à la chasse au bonheur.
- On gâte des sentiments si tendres à les raconter en détail.