Il y a dans l'univers, beaucoup de créatures qui volent très haut dans le ciel : certains y sont arrivés en recourant à leurs propres ailes, d'autres se sont fait porter là -haut par un coup de vent.
Citation sur la vie de Jiang Zilong :Il y a dans l'univers, beaucoup de créatures qui volent très haut dans le ciel : certains y sont arrivés en recourant à leurs propres ailes, d'autres se sont fait porter là -haut par un coup de vent.
Jiang Zilong est l'auteur de la citation sur la vie "Il y a dans l'univers, beaucoup de créatures qui volent très haut dans le ciel : certains y sont arrivés en recourant à leurs propres ailes, d'autres se sont fait porter là -haut par un coup de vent.".
Jiang Zilong est également l'auteur des citations :
- L'âme du peuple ne doit pas être étouffée, elle a besoin de respirer, la littérature est son poumon.
- Le pouvoir se perd vite : quand on en possède un, il faut en user le plus vite possible, faute de quoi, il s'envole.
- Est-ce que ceux qui ne savent pas dissimuler leur ruse peuvent encore passer pour rusés ?
- La pierre est l'amie du couteau, l'obstacle, celui de la volonté.
- Le malin est celui qui mate un misérable en épousant ses intérêts.
- Il convient de fermer les yeux lorsque ceux-ci révèlent les pensées.
- Comment un individu peut-il se venger de l'opinion publique ?
- Existe-t-il de véritables rusés dont on ne remarque pas les ruses ?
- Quel que soit son orgueil, un homme le cache dans sa poche dès qu'il est amoureux.
- Peut-on manger à temps quand les cuisiniers et les clients entrent tous à la même heure dans la cuisine ?
- Les directeurs dirigent l'usine mais les secrétaires dirigent les directeurs.
- Lors d'une tempête, on peut trouver la tranquillité au coeur même du typhon.
- Une oeuvre littéraire peut agir sur la réalité même qui lui a donné naissance.
- De nos jours, le jeune dirige le vieux et le profane, le compétent.
- L'homme est à la fois le centre du mal et la source du bien.
- Un bon cheval ne devient jamais une rosse.
- Un habit bien fait embellit les gens comme la selle, le cheval.
- L'oeuvre littéraire sert de miroir au public. L'auteur s'y reflète et le lecteur y trouve son image.
- La langue révélatrice de la pensée, est la mère de tous les maux.
- Les magistrats les plus compétents et les plus intègres sont souvent incapables de venir à bout de leurs propres conflits familiaux.
- Je ne crois pas que la littérature puisse changer la politique, mais elle peut exercer une influence sur ceux qui appliquent la politique.
- L'argent ne peut pas être mieux placé que dans les mains des ouvriers.
- Ceux qui arrivent juste à l'heure, sont des gens qui marchent à la sonnerie.
- Un bon secrétaire doit être capable d'entendre sans écouter, de regarder sans voir.
- Perdre vaut mieux que posséder.
- Les profanes voient les apparences, les connaisseurs voient les astuces.
- Lorsqu'un mur va s'écrouler, tout le monde le pousse.
- Celui qui a du toupet se rassasie, celui qui est timide crève de faim.
- Pour pouvoir se tenir droit et respirer librement, il faut lutter.
- Il est facile d'agir comme un héros, mais difficile de supporter les flatteurs.
- Lorsque ni la discipline, ni la loi, ni l'esprit de parti ne font plus d'effet sur certaines gens, on doit penser à les dompter avec de petites faveurs.
- La rancune n'est que la preuve de la faiblesse.
- Ce n'est pas en suivant les pas d'autrui qu'on arrive à tracer son chemin.
- La littérature est le chant du cœur du peuple et le peuple est l'âme de la littérature.
- L'absence de volonté et la lâcheté devant l'action représentent de grands défauts pour les dirigeants alors condamnés à l'impuissance.
- Les masses sont les professeurs des cadres, les professeurs des directeurs.