Dans la vie, nous combinons un plan ; mais celui-ci reste subordonné à ce qu'il plaira de faire au sort.
Citation sur la vie d'Arthur Schopenhauer :Dans la vie, nous combinons un plan ; mais celui-ci reste subordonné à ce qu'il plaira de faire au sort.
Arthur Schopenhauer est l'auteur de la citation sur la vie "Dans la vie, nous combinons un plan ; mais celui-ci reste subordonné à ce qu'il plaira de faire au sort.".
Arthur Schopenhauer est également l'auteur des citations :
- Le fou court après les plaisirs de la vie et trouve la déception ; le sage évite les maux.
- La vie n'est jamais belle ; seules les images de la vie sont belles.
- Chacun est enfermé dans sa conscience comme dans sa peau.
- Attribuer une haute valeur à l'opinion des hommes, c'est leur faire trop d'honneur.
- L'essentiel pour le bonheur de la vie, c'est ce que l'on a en soi-même.
- Entre les désirs et leurs réalisations s'écoule toute la vie humaine.
- Pour s'endurcir, il faut soumettre le corps à beaucoup d'effort et de fatigue, et s'habituer à résister à tout ce qui peut l'affecter, quelque rudement que ce soit.
- Personne n'a vécu dans le passé, personne ne vivra dans le futur ; le présent est le mode de toute vie.
- L'homme ordinaire ne se préoccupe que de passer le temps, l'homme de talent que de l'employer.
- Il ne faut pas empiéter sur l'avenir en demandant avant le temps ce qui ne peut venir qu'avec le temps.
- Le néant après la mort ? N'est-ce pas l'état auquel nous étions habitués avant la vie ?
- Ni aimer, ni haïr : voilà la moitié de toute sagesse. Ne rien dire et ne rien croire : voilà l'autre.
- Qui critique les autres travaille à son propre amendement.
- N'avoir jamais et d'aucune façon besoin des autres et le leur faire voir, voilà absolument la seule manière de maintenir sa supériorité dans les relations.
- Les hommes sont mille fois plus acharnés à acquérir des richesses que la culture , bien qu’il soit parfaitement certain que le bonheur d’un individu dépend bien plus de ce qu’il est que de ce qu’il a.
- L'éloignement et la longue absence nuisent à toute amitié.
- C'est précisément dans les petites choses, où il ne songe pas à soigner sa contenance, que l'homme dévoile son caractère.
- Ce que chacun recherche et aime avant tout, non seulement dans la simple conversation, mais encore à fortiori dans le service public, c'est l'infériorité de l'autre.
- On porte ses défauts comme on porte son corps, sans le sentir.
- Aussi infailliblement que le chat se met à ronronner quand on lui caresse le dos, aussi sûrement on voit une douce extase se peindre sur la figure de l'homme qu'on loue.
- Ne combattez l'opinion de personne ; songez que, si l'on voulait dissuader les gens de toutes les absurdités auxquelles ils croient, on n'en aurait pas fini, quand on atteindrait l'âge de Mathusalem.
- Tout ce qui est exquis mûrit lentement.
- N’abrégez pas le matin en vous levant tard ; regardez-le comme une quintessence de la vie.
- L'activité est indispensable au bonheur ; il faut que l'homme agisse, fasse quelque chose si cela lui est possible ou apprenne au moins quelque chose.
- Ma philosophie ne m'a rien rapporté, mais elle m'a beaucoup épargné.
- Ce n'est plus souvent que la perte des choses qui en enseigne la valeur.
- La solitude offre à l'homme intellectuellement haut placé un double avantage : le premier, d'être avec soi-même, et le second de n'être pas avec les autres.
- Le sommeil est pour l'ensemble de l'homme ce que le remontage est à la pendule.
- Pour ne pas devenir très malheureux, le moyen le plus certain est de ne pas demander à être très heureux.
- La plupart des hommes sont tellement personnels qu'au fond rien n'a d'intérêt à leurs yeux qu'eux-mêmes et exclusivement eux.
- Cent fous mis en un tas ne font pas encore un homme raisonnable.
- Les occasions de se taire et celles de parler se présentent en nombre égal, mais nous préférons souvent la fugitive satisfaction que procurent les dernières au profit durable que nous tirons des premières.
- La meilleure occasion pour éprouver la sincérité d'un ami, c'est le moment où vous lui annoncerez un malheur qui vient de vous frapper.
- Comment peut-on prétendre que les amis sont rares, dans le besoin ? Mais c'est le contraire. À peine a-t-on fait amitié avec un homme, que le voilà aussitôt dans le besoin et qu'il vous emprunte de l'argent.
- Point de santé si l'on ne se donne tous les jours suffisamment de mouvement.
- Il est aussi absurde de pleurer sur le temps où on ne sera plus, qu'il le serait de déplorer celui où l'on n'était pas encore.
- Le monde dans lequel chacun vit dépend de la façon de le concevoir.
- Quand on veut vivre parmi les hommes, il faut laisser chacun exister et l'accepter avec l'individualité, quelle quelle soit, qui lui a été départie.
- Il vaut mieux manifester sa raison par tout ce que l'on tait que par ce qu'on dit.
- Le matin, c'est la jeunesse du jour. Tout y est gai, frais et facile. Il ne faut pas l'abréger en se levant tard.
- Les neuf dixièmes de notre bonheur reposent sur la santé. Avec elle, tout devient source de plaisir.
- La religion catholique est une méthode pour obtenir le ciel en mendiant. Mais comme il est trop difficile à obtenir, les prêtres servent d'entremetteurs.
- La vie d'un homme n'est qu'une lutte pour l'existence avec la certitude d'être vaincu.
- Dans l'âge mûr, on s'entend mieux à se garder contre le malheur, dans la jeunesse à le supporter.
- Le sommeil est un emprunt fait à la mort pour l'entretien de la vie.