Depuis six mille ans, la guerre Plaît aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs.
Citation sur la vie de Victor Hugo :Depuis six mille ans, la guerre Plaît aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs.
Victor Hugo est l'auteur de la citation sur la vie "Depuis six mille ans, la guerre Plaît aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs.".
Victor Hugo est également l'auteur des citations :
- C'est une erreur de croire qu'une idée peut être rendue de plusieurs façons différentes.
- On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.
- Les amis sont des anges silencieux, qui nous remettent sur nos pieds quand nos ailes ne savent plus comment voler.
- Ouvrez des écoles vous fermerez des prisons.
- Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler.
- L'horizon souligne l'infini.
- Oh ! L’amour d’une mère ! - amour que nul n’oublie ! (...) Chacun en a sa part, et tous l’ont tout entier !
- Sauvons la liberté, la liberté sauve le reste.
- La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste.
- La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste.
- Nos fautes sont des dettes contractées ici et payables ailleurs. L'athéisme n'est autre chose qu'un essai de déclaration d'insolvabilité.
- Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu.
- Le poète ne doit avoir qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité.
- Le théâtre est un point d'optique. Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme, tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art.
- La vie est passée avant qu'on ait pu vivre.
- La volonté trouve, la liberté choisit. Trouver et choisir, c'est penser.
- C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l'écoute pas.
- Ô peuples, détrônez l’échafaud !... Lève-toi, sainte émeute de la vie contre la mort !
- L'amour fait songer, vivre et croire Il a pour réchauffer le coeur Un rayon de plus que la gloire, Et ce rayon, c'est le bonheur.
- La vie est une fleur. L'amour en est le miel.
- Au point de vue politique, il n'y a qu'un seul principe, la souveraineté de l'homme sur lui-même. Cette souveraineté de moi sur moi s'appelle Liberté.
- La mer est un espace de rigueur et de liberté.
- Le chien a son sourire dans sa queue.
- Ma vie est une énigme dont ton nom est le mot.
- La véritable indulgence consiste à comprendre et à pardonner les fautes qu'on ne serait pas capable de commettre.
- La liberté d'aimer n'est pas moins sacrée que la liberté de penser.
- La vie est une phrase interrompue.
- Dans les temps anciens, il y avait des ânes que la rencontre d’un ange faisait parler.
- La philosophie est le microscope de la pensée.
- La liberté commence où l'ignorance finit.
- Chaque fois qu'on perd une habitude, il semble qu'on perde quelque chose de la vie. Et dans le fait la vie n'est que la plus longue de nos habitudes.
- La moitié d'un amis, c'est la moitié d'un traître.
- Il y a toujours dans le bonheur, même des meilleures gens, un peu d'insolence aimable qui défie les autres d'en faire autant.
- La liberté est. Elle a cela de commun avec Dieu qu'elle exclut le pluriel.
- Tout le temps est perdu que l’amour ne prend pas.
- Les écrivains ont mis la langue en liberté.
- La liberté consiste à choisir entre deux esclavages : l'égoïsme et la conscience. Celui qui choisit la conscience est l'homme libre.
- La vanité est la plus petite des petitesses.
- Je resterai jusqu'à la mort le protestant de la liberté d’aimer.
- En littérature, le plus sûr moyen d'avoir raison, c'est d'être mort.
- Bien lire l’univers, c’est bien lire la vie.
- La dernière raison des rois, le boulet. La dernière raison des peuples, le pavé.
- Un méchant peut donner un bon avis ; une chandelle pue, mais éclaire.
- Il est impossible d'admirer un chef-d'Ãuvre sans éprouver en même temps une certaine estime de soi.
- N'est pas athée qui croit l'être. […] les grands athées sont rares.
- Quand le poète peint l'enfer, il peint sa vie.
- La vie, le malheur, l'isolement, l'abandon, la pauvreté, sont des champs de bataille qui ont leurs héros ; héros obscurs plus grands parfois que les héros illustres.
- C'est une des choses les plus difficiles et les plus nécessaires de la vie que d'apprendre à dédaigner. Le dédain protège et écrase. C'est une cuirasse et une massue.
- Monsieur, j'ai pour principe, écoutez bien cela, d'admirer l'admirable et de m'en tenir là .
- La vie n’est qu’une longue perte de tout ce qu’on aime.
- Une idée n'a qu'une expression. C'est cette expression là que le génie trouve.
- Toutes les religions sont fausses par la surface qui est le dogme, et vraies par le fond qui est Dieu.
- "Chose étrange, après dix-huit siècles de progrès la liberté de l'esprit est proclamée ; la liberté de cÃur ne l'est pas. Et pourtant aimer n'est pas un moins grand droit de l'homme que penser."
- La naïveté est le visage de la vérité.
- A mesure que l'homme avance dans la vie, il arrive à une sorte de possession invétérée des idées et des objets, qui n'est autre chose qu'une profonde habitude de vivre. Il devient à lui-même sa propre tradition.
- Ma vie se résume en deux mots : Solitaire - Solidaire.
- L'égoïsme est la rouille du moi.
- Il est impossible que deux têtes humaines conçoivent le même sujet absolument de même manière.
- On tient pour suspectes l'induction et l'intuition ; l'induction, le grand organe de la logique ; l'intuition, le grand organe de la conscience.
- Quand le peuple sera intelligent, alors seulement le peuple sera souverain.
- Tout corps traîne son ombre et tout esprit son doute.
- L'oisiveté est le plus lourd des accablements.
- Les mathématiques ne sont pas une moindre immensité que la mer.
- Le travail, c'est tout ce que l'on est obligé de faire ; le jeu, c'est tout ce que l'on fait sans y être obligé.
- Le coeur de la femme s'attache parce qu'il donne ; le coeur de l'homme se détache parce qu'il reçoit.
- Et l’on reconnaîtra que, même au point de vue de notre égoïsme, il est difficile de composer le bonheur de l’homme avec la souffrance de la femme.
- Ne rien faire est le bonheur des enfants et le malheur des vieux.
- Le devoir a une grande ressemblance avec le bonheur d'autrui.
- La continuité des grands spectacles nous fait sublimes ou stupides. Dans les Alpes, on est aigle ou crétin.
- Un peuple qui a la liberté, doit aussi avoir la volonté.
- La science est obscure - peut-être parce que la vérité est sombre.
- La femme a une puissance singulière qui se compose de la réalité de la force et de l’apparence de la faiblesse.
- Une traduction est une annexion.
- Dans tout fanfaron il y a un fuyard.
- L'inviolabilité de la vie humaine est le droit des droits.
- Le dédain est la générosité du mépris.
- Dans l'homme, il y a l'abîme.
- Tout un art complet, la musique, admirable en Italie et plus admirable encore en Allemagne, appartient au rêve.
- Toute affirmation n'est pas un axiôme.
- Mes amis, retenez ceci, il n'y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes. Il n'y a que de mauvais cultivateurs.
- Nul n'a l'honneur d'avoir une vie qui soit à lui.
- On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas.
- Que reste-t-il de la vie, Excepté d’avoir aimé ?
- Je veux que la République ait deux noms : qu’elle s’appelle Liberté, et qu’elle s’appelle chose publique.
- Le beau n'est pas dégradé pour avoir servi à la liberté et à l'amélioration des multitudes humaines.
- Manifester la conscience, c'est presque montrer Dieu.
- Que peu de temps suffit pour changer toutes choses ! Nature au front serein, comme vous oubliez !
- On voit les qualités de loin et les défauts de près.
- Les méchants envient et haïssent ; c'est leur manière d'admirer.
- L'homme fort dit : je suis. Et il a raison. Il est. L'homme médiocre dit également : je suis. Et lui aussi a raison. Il suit.
- Aujourd'hui, je suis reine. Autrefois j'étais libre.
- On s'en va parce qu'on a besoin de distraction, et l'on revient parce qu'on a besoin de bonheur.
- Ce qui caractérise essentiellement l'axiôme, ce n'est pas d'être clair, c'est d'être fécond.
- Qu'est-ce que la mort à tout prendre ? Un mauvais moment, un péage, le passage de peu de chose à rien.
- Cette cloison qui nous sépare du mystère des choses et que nous appelons la vie.
- La volonté aboutit à un ajournement, l'utopie ; la science aboutit à un doute, l'hypothèse.
- L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir.
- Rêver, c'est le bonheur ; attendre, c'est la vie.
- L'homme est le travailleur du printemps, de la vie, De la graine semée et du sillon creusé, Et non le créancier livide du passé.
- Il n'y a qu'une nécessité, la vérité ; c'est pourquoi il n'y a qu'une force, le droit.
- Inspirons, s'il est possible, à la nation l'amour de l'architecture nationale. C'est là , l'auteur le déclare, un des buts principaux de ce livre ; c'est là un des buts principaux de sa vie.
- Au banquet du bonheur bien peu sont conviés.
- Avant de s'agrandir au dehors, il faut s'affermir au dedans.
- Le travail est la meilleure des régularités et la pire des intermittences.
- Le fond, c'est la forme.
- La vraie philosophie détourne des religions et pousse à la religion.
- Tout le monde a droit de vie ici-bas, et la mort de faim est un crime social.
- Je ne sais pourquoi je trouve du charme à regarder un champ inculte. Cela représente le possible.
- Un livre est quelqu'un. Ne vous y fiez pas. Un livre est un engrenage.
- Dans l’excès de bonheur, il y a peut-être quelque chose de pris à quelqu’un.
- Et de l’union des libertés dans la fraternité des peuples naîtra la sympathie des âmes, germe de cet immense avenir où commencera pour le genre humain la vie universelle et que l’on appellera la paix de l’Europe.
- La vérité ajustée aux erreurs, voilà le péril.
- Pour l'esprit, être en travail, c'est être en extase.
- La mort, c'est l'élargissement dans l'infini.
- L'insurrection est l'accès de fureur de la vérité.
- Chose étrange, ce que nous aurons donné, c'est là ce qui nous restera.
- La conscience, […] Chose sombre que cet infini que tout homme porte en soi et auquel il mesure avec désespoir les volontés de son cerveau et les actions de sa vie !
- La confiance en soi fait le sot ; la foi en soi fait le grand homme.
- L'esprit d'une bête, c'est de ne pas être sot.
- Il est toujours bon d'être bon.
- Le propre de la vérité, c'est de manquer de complaisance.
- Quand les vieillards croient gémir sur leur temps, ils se trompent ; ils ne gémissent que sur leur âge.
- Mieux vaut une conscience tranquille qu'une destinée prospère. J'aime mieux un bon sommeil qu'un bon lit.
- Avec cette vente qu’on appelle la dot et ce tyran qu’on appelle l’époux, l’adultère n’est autre chose qu’une protestation de la première et de la plus sainte des libertés, la liberté d’aimer, contre l’esclavage de la femme et le despotisme du mariage.
- Nous avons notre ancre en nous-mêmes.
- Quand on n'est pas intelligible, c'est qu'on n'est pas intelligent.
- Les révolutions ont un besoin de liberté, c'est leur but, et un besoin d'autorité, c'est leur moyen.
- Le bonheur veut tout le monde heureux.
- La vérité, ce jour de l'âme humaine.
- Il se passera du temps encore avant que la justice des hommes ait fait sa jonction avec la justice.
- Ne confondez pas le sombre avec l'obscur. L'obscur accepte l'idée de bonheur ; le sombre accepte l'idée de grandeur.
- Le bonheur est vide, le malheur est plein.
- L'axiôme doit être simple. Doit-il être clair ? Pas nécessairement. Simplicité et clarté, c'est deux.
- Abîmes, abîmes, abîmes. C'est là le monde.
- Aucune vertu ne peut se loger dans la haîne.
- Or le défaut supprime la perfection, et l'excès ne supprime pas la grandeur. Loin de là , il la constate.
- En temps de révolution, qui est neutre est impuissant.
- Les bons sont meilleurs que les justes.
- Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l'âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps.
- Il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut l’action.
- Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour.
- La vieillesse bien comprise est l'âge de l'espérance.
- Tout ce qui augmente la liberté augmente la responsabilité.
- Les exemples que nous donnons sont inévitablement, plus tard, nos ennemis ou nos auxiliaires ; au jour du danger, ils se lèvent et ils combattent pour nous ou contre nous.
- Mais l'isolement n'est pas possible en temps d'élections, pas plus que la solitude au milieu d'un champs de bataille.
- Comme, étant en possession du faux but de la vie, le bonheur, on oublie le vrai but, le devoir !
- Selon que vous serez fou ou sage, vous composerez les rêves de votre vieillesse des regrets de votre jeunesse ou des espérances de l'éternité !
- Dieu tombe goutte à goutte du ciel, et larme à larme de nos yeux.
- Il y a des instincts pour toutes les rencontres de la vie.
- Pourquoi Dieu met-il donc le meilleur de la vie tout au commencement ?
- L'idée sans le mot serait une abstraction ; le mot sans l'idée serait un bruit ; leur jonction est leur vie.
- Que ne te dois-je point ? O mère tant chérie, Tu me donnas le jour, Me nourris de ton Lait et je ne dois la vie Qu’à ton prudent amour.