Le désespoir est à la mort ce que le beurre de cacao est au suppositoire : un excipient qui rend plus facile le passage.
Citation sur la vie de Philippe Bouvard :Le désespoir est à la mort ce que le beurre de cacao est au suppositoire : un excipient qui rend plus facile le passage.
Philippe Bouvard est l'auteur de la citation sur la vie "Le désespoir est à la mort ce que le beurre de cacao est au suppositoire : un excipient qui rend plus facile le passage.".
Philippe Bouvard est également l'auteur des citations :
- Sur la corde raide de la vie, les remords font office de balanciers.
- Si Dieu n'existe pas, je plains ceux qui, pour conquérir là -haut un paradis hypothétique, ont transformé ici-bas leur vie en un enfer de contraintes et de renoncements.
- De plus en plus de gens jouent avec les mots, et de moins en moins avec les idées.
- La météo est une science qui permet de connaître le temps qu’il aurait dû faire.
- Le poker est un jeu passionnant permettant de perdre son argent, son temps et ses amis.
- S’il existe un plaisir plus gratifiant, plus voluptueux, plus extraordinaire que celui de gagner du temps, c’est bien celui d’en perdre.
- Le suicide est l’acte désespéré d’un être qui ne fait plus confiance ni aux médecins, ni à la guerre, ni aux transports, ni à la nature.
- Dites franchement tout le bien que vous pensez de vous : la fausse modestie est un abus de confiance.
- Il n’y a point d’assujettissement si parfait que celui qui garde l’apparence de la liberté ; on captive ainsi la volonté même.
- Au contrôleur de la SNCF qui vérifie votre billet, ne dites pas :«Vous augmentez la durée du trajet en même temps que le prix du billet. »
- A force de sonder la vie des choses et la nature de leur relativité, tu arriveras à l'insoluble ; à force de contester la vie des choses et leur relativité, tu arriveras au néant ; en sanctifiant les choses, tu rencontreras le Dieu vivant.
- À quoi sert la philosophie ? À nourrir ceux dont c’est le métier et à consoler les autres de ne pas en croquer.
- Faute de temps, le journaliste moderne doit choisir : ou voir l’événement ou le décrire. Il a rarement le loisir de faire les deux.
- Hé ! Ne te moque pas de la masturbation ! C’est faire l’amour avec quelqu’un qu’on aime...
- La mort n’est jamais qu’un jour dans la vie. Et de surcroît le dernier, à ce qu’il paraît.
- La beauté des femmes constitue un abus de confiance permanent dans la mesure où la façade fait des promesses qui ne sont pas tenues au-delà .
- Seule l’inimitié qu’on manifeste aux uns donne son prix à l’amitié qu’on porte aux autres.
- Grâce aux incessants changements d'intitulé des ministères, un remaniement gouvernemental qui attriste souvent quelques politiciens fait toujours le bonheur des imprimeurs.
- Le bon vieux temps : tout ce que la mémoire range dans ses débarras en gommant le médiocre pour ne retenir que le meilleur.
- En matière d’amour physique, les textiles gênent plus aujourd’hui que les principes.
- Faire comprendre des choses complexes à des gens simples frise souvent l'abus de confiance.
- Il y a tellement de fous en liberté que je me demande parfois si ce ne sont pas les gens sains d’esprit qui peuplent les asiles.
- La seule façon d’oublier qu’on n’a qu’une vie, c’est d’avoir plusieurs femmes...
- La liberté de s'exprimer totalement devient sans objet quand on n'a plus d'interlocuteurs.
- Les hamsters ne connaissent pas leur bonheur qui bénéficient des nouveaux médicaments aux effets miraculeux cinq années avant les hommes.
- Je m’étonne toujours que des êtres également menacés par la mort se fassent la vie aussi difficile.
- La mort a tué trop d’hommes pour être inhumaine.
- Le bonheur c'est aussi souvent de ne plus faire certaines choses qu'on croyait indispensables.