Il y a des êtres mystérieux, toujours les mêmes, qui se tiennent en sentinelles à chaque carrefour de notre vie.
Citation sur la vie de Patrick Modiano :Il y a des êtres mystérieux, toujours les mêmes, qui se tiennent en sentinelles à chaque carrefour de notre vie.
Patrick Modiano est l'auteur de la citation sur la vie "Il y a des êtres mystérieux, toujours les mêmes, qui se tiennent en sentinelles à chaque carrefour de notre vie.".
Patrick Modiano est également l'auteur des citations :
- On peut être drogué à blanc avec l'attente, et le temps.
- Sous leur regard, la vie courante finit par s'envelopper de mystère.
- La notion du vieillissement, du temps qui passe, c'est un truc qu'on n'a pas jusqu'Ã vingt ans.
- Sur le point d'achever un livre, il vous semble que celui-ci commence à se détacher de vous et qu'il respire déjà l'air de la liberté
- À quelle distance exacte se tient un romancier? En marge de la vie pour la décrire, car si vous êtes plongé en elle - dans l'action - vous en avez une image confuse.
- J'ai toujours cru que le poète et le romancier donnaient du mystère aux êtres qui semblent submergés par la vie quotidienne, aux choses en apparence banales.
- Il est difficile d’avoir de la lucidité sur ce qu’on écrit. La répétition vient peut-être du fait que je suis travaillé par une période de ma vie qui revient sans arrêt dans ma tête..
- Je crois que pour en faire une œuvre littéraire, il faut tout simplement rêver sa vie – un rêve où la mémoire et l’imagination se confondent.
- Je pense en ce moment à la vanité de mon entreprise. On s’intéresse à un homme, disparu depuis longtemps. On voudrait interroger les personnes qui l’ont connu mais leurs traces se sont effacées avec les siennes. Sur ce qu’a été sa vie, on ne possède que de très vagues indications, sou
- On peut se perdre ou disparaître dans une grande ville. On peut même changer d'identité et vivre une nouvelle vie.
- Avec le temps, on apprend à supporter la charge du roman.
- Si l’on habite près d’une gare, cela change complètement la vie. On a l’impression d’être de passage. Rien n’est jamais définitif. Un jour ou l’autre, on monte dans un train.
- Les thèmes de la disparition, de l'identité, du temps qui passe sont étroitement liés à la topographie des grandes villes.
- À mesure que les années, passent, chaque quartier, chaque rue d'une ville, évoque un souvenir, une rencontre, un chagrin, un moment de bonheur.
- Les dimanches, surtout en fin d’après-midi, et si vous êtes seul, ouvrent une brèche dans le temps. Il suffit de s’y glisser.
- Grâce à la topographie d'une ville, c'est toute votre vie qui vous revient à la mémoire par couches successives.