J’aime bien les histoires qui finissent mal. Ce sont les plus belles car ce sont celles qui ressemblent le plus à la vie.
Citation sur la vie de Pierre Desproges :J’aime bien les histoires qui finissent mal. Ce sont les plus belles car ce sont celles qui ressemblent le plus à la vie.
Pierre Desproges est l'auteur de la citation sur la vie "J’aime bien les histoires qui finissent mal. Ce sont les plus belles car ce sont celles qui ressemblent le plus à la vie.".
Pierre Desproges est également l'auteur des citations :
- Il faut rire de tout. C'est extrêmement important. C'est la seule humaine façon de friser la lucidité sans tomber dedans.
- Existe-t-il au monde un privilège plus totalement exorbitant que la beauté ?
- Le savoir-vivre est la somme des interdits qui jalonnent la vie d'un être civilisé, c'est à dire coincé entre les règles du savoir-naître et celles du savoir-mourir.
- Le voisin est un animal nuisible assez proche de l'homme.
- S'il n'y avait pas la Science, combien d'entre nous pourraient profiter de leur cancer pendant plus de cinq ans ?
- A l’instar du pou, le coiffeur est un parasite du cheveu.
- Une civilisation sans la Science, ce serait aussi absurde qu’un poisson sans bicyclette.
- La femme est souvent pour l’homme un agréable compagnon de jeux.
- De même qu’il ne peut pas vivre sans oxygène, l’homme ne peut pas vivre sans femme.
- La culture, c'est comme l'amour. Il faut y aller à petits coups au début pour bien en jouir plus tard.
- Vous pouvez railler, mais n'oubliez jamais qu'un jour ou l'autre, c'est celui qui raille qui l'a dans le train.
- L'homme de science le sait bien, lui, que seule la science, a pu, au fil des siècles, lui apporter l'horloge pointeuse et le parcmètre automatique sans lesquels il n'est pas de bonheur terrestre possible.
- Les deux tiers des enfants du monde meurent de faim, alors même que le troisième tiers crève de son excès de cholestérol.
- Les coiffeurs sont l'élément le plus totalement inutile d'une nation, avec les militaires, les académiciens et les crottes sur le trottoir.
- L'ennemi, c'est comme le sexe. Faut tirer dessus de temps en temps pour avoir la paix.
- Ce n’est pas parce que je suis paranoïaque qu’ils ne sont pas tous après moi.
- Quand un philosophe me répond, je ne comprends plus ma question.
- Suicidez-vous jeune, vous profiterez de la mort.
- Il en est du romantisme fiévreux comme de la moule pas fraîche : quand on en abuse, ça fait mal au coeur.
- Le temps nous presse sans trêve vers le trou final.
- On peut très bien vivre sans la moindre espèce de culture.
- L’âge mûr c’est la période de la vie qui précède l’âge pourri.
- Il n'y a que deux sortes de chauffeurs de taxis : ceux qui puent le tabac, et ceux qui vous empêchent de fumer.
- Toute la vie est une affaire de choix. Cela commence par : "la tétine ou le téton ?" Et cela s'achève par : "Le chêne ou le sapin ?"
- Et puis quoi, qu'importe la culture ? Quand il a écrit Hamlet, Molière avait-il lu Rostand ? Non.
- Est-il indispensable d’être cultivé quand il suffit de fermer sa gueule pour briller en société ?
- Je ne suis pas pour la femme-objet, au contraire j'aime bien quand c'est moi qui ne bouge pas.
- Plus je connais les hommes, plus j'aime mon chien. Plus je connais les femmes, moins j'aime ma chienne.