Nous avons hésité un moment entre un divorce ou des vacances. Nous avons pensé que des vacances aux Bermudes, c'est fini en deux semaines alors qu'un divorce, ça dure toute la vie.
Citation sur la vie de Woody Allen :Nous avons hésité un moment entre un divorce ou des vacances. Nous avons pensé que des vacances aux Bermudes, c'est fini en deux semaines alors qu'un divorce, ça dure toute la vie.
Woody Allen est l'auteur de la citation sur la vie "Nous avons hésité un moment entre un divorce ou des vacances. Nous avons pensé que des vacances aux Bermudes, c'est fini en deux semaines alors qu'un divorce, ça dure toute la vie.".
Woody Allen est également l'auteur des citations :
- Je crois que les gens devraient rester ensemble toute leur vie, comme les pigeons. Ou les catholiques.
- 80% du succès réside dans le premier pas.
- Mieux vaut ne pas trop penser. Se reposer davantage sur le corps : il est plus digne de confiance.
- Malheureusement, nos politiciens sont soit incompétents, soit corrompus. Quelquefois les deux en même temps, le même jour.
- La plupart du temps, je ne rigole pas beaucoup. Et le reste du temps je ne rigole pas du tout.
- La vie n’imite pas l’art, elle imite la mauvaise télévision.
- La mort est un état de non-existence. Ce qui n’est pas n’existe pas. Donc la mort n’existe pas.
- Je ne veux pas atteindre l’immortalité grâce à mon oeuvre. Je veux atteindre l’immortalité en ne mourant pas.
- Le mariage c’est la mort de l’espoir.
- Pour l’homme qui pense, la mort n’est pas une fin mais un commencement.
- J'aimerais terminer sur un message d'espoir. Je n'en ai pas. En échange, est-ce que deux messages de désespoir vous iraient ?
- La vie se divise en deux catégories : l'horreur et le malheur.
- La vie n’a aucun but. Rien n’est durable. Même les oeuvres de Shakespeare disparaîtront quand l’univers se désintégrera.
- La différence entre le sexe et la mort, c'est que mourir, vous pouvez le faire seul, et personne ne se moquera de vous.
- Il est difficile de vivre sa propre vie, et en même temps, de chanter juste.
- Toujours obsédé par l'idée de la mort, je médite constamment. Je ne cesse de me demander s'il existe une vie ultérieure et, s'il y en a une, peut-on m'y faire la monnaie de vingt dollars ?
- La vie est un restaurant petit, mauvais et cher. En plus, c'est trop court.