Le problème du mariage c'est qu'il meurt toutes les nuits après l'amour et qu'il faut le reconstruire tous les matins avant le petit déjeuner.
Citation sur la vie de Gabriel Garcia Marquez :Le problème du mariage c'est qu'il meurt toutes les nuits après l'amour et qu'il faut le reconstruire tous les matins avant le petit déjeuner.
Gabriel Garcia Marquez est l'auteur de la citation sur la vie "Le problème du mariage c'est qu'il meurt toutes les nuits après l'amour et qu'il faut le reconstruire tous les matins avant le petit déjeuner.".
Gabriel Garcia Marquez est également l'auteur des citations :
- Les choses ont une vie bien à elles ; il faut réveiller leur âme, toute la question est là .
- Il n'est de médecine qui guérisse ce que ne guérit pas le bonheur.
- La vie n'est pas ce que l'on a vécu, mais ce dont on se souvient et comment on s'en souvient.
- Tout roman est une devinette du monde.
- Dans le malheur, l'amour devient plus grand et plus noble.
- La morale est une affaire de temps.
- Le meilleur ami, avait-il coutume de dire alors, c'est celui qui vient de mourir.
- On ne meurt pas quand on veut, mais seulement quand on peut.
- Le corps humain n'est pas fait pour toutes les années que l'on pourrait vivre.
- L’amour aussi ça s’apprend.
- La honte a mauvaise mémoire.
- Il n’est plus grande gloire que de mourir d’amour.
- Les gens que l'on aime devraient mourir avec toutes leurs affaires.
- Rien de ce qui se fait au lit n'est immoral s'il contribue à perpétuer l'amour.
- On n'est de nulle part tant qu'on n'a pas un mort dessous la terre.
- Le secret d'une bonne vieillesse n'était rien d'autre que la conclusion d'un pacte honorable avec la solitude.
- La sagesse vient à nous lorsqu'elle ne sert à rien.
- Il faut toujours être du côté du mort.
- Le temps s'écoule sans faire de bruit.
- Le problème de la vie publique, c'est d'apprendre à dominer la terreur, celui de la vie conjugale d'apprendre à dominer l'ennui.
- Une seule minute de réconciliation mérite mieux que toute une vie d'amitié.
- La fatalité nous rend invisibles.