Le mot de révolution est un mot pour lequel on tue, pour lequel on meurt, pour lequel on envoie les masses populaires à la mort, mais qui n'a aucun contenu.
Citation sur la vie de Simone Weil :Le mot de révolution est un mot pour lequel on tue, pour lequel on meurt, pour lequel on envoie les masses populaires à la mort, mais qui n'a aucun contenu.
Simone Weil est l'auteur de la citation sur la vie "Le mot de révolution est un mot pour lequel on tue, pour lequel on meurt, pour lequel on envoie les masses populaires à la mort, mais qui n'a aucun contenu.".
Simone Weil est également l'auteur des citations :
- Aimer un être, c'est tout simplement reconnaître qu'il existe autant que vous.
- La joie est notre évasion hors du temps.
- Il n'y a qu'une seule et même raison pour tous les hommes ; ils ne deviennent étrangers et impénétrables les uns aux autres que lorsqu'ils s'en écartent.
- On dit souvent que la force est impuissante à dompter la pensée ; mais pour que soit vrai, il faut qu'il y ait pensée. Là où les opinions irraisonnées tiennent lieu d'idées, la force peut tout.
- On meurt pour ce qui est fort, non pour celui qui est faible. Mourir pour ce qui est fort fait perdre à la mort son amertume.
- Plus le niveau de la technique est élevé, plus les avantages que peuvent apporter des progrès nouveaux diminuent par rapport aux inconvénients.
- Nous vivons ici-bas dans un mélange de temps et d'éternité. L'enfer serait du temps pur.
- Ce monde est la porte d'entrée. C'est une barrière. Et, en même temps, c'est le passage.
- La religion en tant que source de consolation est un obstacle à la véritable foi, et en ce sens l'athéisme est une purification.
- On pense aujourd’hui à la révolution, non comme à une solution des problèmes posés par l’actualité, mais comme à un miracle dispensant de résoudre les problèmes.
- L’avenir ne nous apporte rien, ne nous donne rien ; c’est nous qui, pour le construire, devons tout lui donner, lui donner notre vie elle-même.
- On peut, si on veut, ramener tout l'art de vivre à un bon usage du langage.
- Toutes les tragédies que l’on peut imaginer reviennent à une seule et unique tragédie : l’écoulement du temps.
- La contemplation du temps est la clef de la vie humaine.