Le vie s’accommode des milieux où les circonstances la placent.
Citation sur la vie de Georges Courteline :Le vie s’accommode des milieux où les circonstances la placent.
Georges Courteline est l'auteur de la citation sur la vie "Le vie s’accommode des milieux où les circonstances la placent.".
Georges Courteline est également l'auteur des citations :
- - Croyez-vous à la vie future ? - J'y crois tous les jours où je suis malade. Je n'y crois pas les jours où je me porte bien.
- Je parle des choses que je sais, de préférence à celles que j’ignore.
- Payer ce qu’on doit est le meilleur moyen de ne pas s’exposer à payer un jour plus que son dû.
- Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet.
- J’étais né pour rester jeune, et j’ai eu l’avantage de m’en apercevoir, le jour où j’ai cessé de l’être.
- Oh ! le mari, le précieux mari ! personnage indispensable à la solidité des liaisons adultères !
- Le théâtre, c'est du carton et c'est du plâtre... Mais c'est tout de même la vie... Comprenez-vous çà ?
- Les pianos devraient être frappés de deux impôts : le premier au profit de l'Etat, le second au profit des voisins.
- On devrait décorer quiconque attendrait l’âge de soixante ans. La vanié des hommes est telle que la plupart d’entre eux pratiqueraient la sobriété et la sagesse dans l’espoir de devenir vieux et d’avoir la croix d’honneur.
- La quantité de bêtises qu'une femme pas bête peut accumuler en peu de temps est une chose déconcertante.
- La vie est si dure Qu’il faut être indulgent aux gens de procédure.
- Exiger simplement et strictement des choses les qualités qu'elles ont la prétention d'avoir : tout le sens critique tient là -dedans.
- Les hommes ne sont pas très rares qui aiment à faire payer les services qu'on leur rend.
- La douceur de l'homme pour la bête est la première manifestation de sa supériorité sur elle.
- La stupidité et le génie se rencontrent sur un terrain qui leur est commun à tous les deux : l’imprévu dans la découverte.
- Il est consolant de penser que si la folie ne gagne rien au contact de la raison, en revanche, la raison s'altère au contact de la folie.
- Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement. Ce qu'on mange avec goût se digère aisément.
- Faire le malin est le propre de tout imbécile.
- L’avantage qu’il y a d’être dans le vrai, c’est que toujours, forcément, on finit par avoir raison. En théorie, du moins.
- Est-il un Français dont les cheveux ne blanchissent pas sur la tête à l’évoqué du péril évité ?
- La gravité du châtiment est quelquefois moins en raison de la gravité du délit que du talent du magistrat qui en a réclamé la sanction.
- Les filles ont ceci pour elles qu'elles le sont toujours un peu plus qu'on ne pensait.
- Mieux vaut boire trop de bon vin qu’un petit peu de mauvais.
- Méfie-toi des conseil mais suis les bons exemples.
- On doit la vérité aux gens intelligents, mais on doit le mensonge aux imbéciles.
- On s’explique mal que nombre de gens aiment mieux prêter de l’argent, au risque de le perdre, que rembourser celui qu’ils doivent.
- La femme est meilleure qu'on le dit : elle ne blague les larmes des hommes que si elle les a elle-même fait couler.
- Les mots me font l’effet d’un pensionnat de petits garçons que la phrase mène en promenade.
- On change plus facilement de religion que de café.
- Il est évidemment bien dur de ne plus être aimé quand on aime, mais cela n'est pas comparable à l'être encore quand on n'aime plus.
- La vraie pudeur est de cacher ce qui n'est pas beau à faire voir.
- C’est la fierté des hommes des lettres d’arriver dans la considération des femmes tout de suite après les cabotins.
- Je ne pense jamais, cela me fatigue ; ou si je pense, je ne pense à rien.
- Rien n’est plus facile, plus inutile par conséquent, que d’être un poète quelconque.
- Il en est de la bohème comme il en est de l’alcool, comme il en est du tabac et des femmes ; il ne faut pas en pousser la pratique à l’excès.
- Des leçons de la vie éternel apprentis, Le juste n’est jamais qu’un pécheur converti !
- Le dédain de l'argent est fréquent, surtout chez ceux qui n'en ont pas.
- Remède. Agent thérapeutique qui guérit rarement le mal qu'on a mais donne à chaque instant un mal qu'on n'avait pas.
- La fait du véritable artiste n’est pas de se complaire en ce qu’il fit, mais de le comparer tristement à ce qu’il avait voulu faire.
- Le goût de la vie l’emporte sur celui du meurtre, de beaucoup.
- Ah ! que l’amour est agréable ! Il est agréable en effet - bien moins, d’ailleurs, pour ce qu’il donne que pour ce qu’on en espère.
- On peut battre une femme quand il n'y a pas d'autre moyen de la faire taire.
- Les vieilles amitiés s'improvisent.
- Il vaut mieux gâcher sa jeunesse que de n’en rien faire du tout.
- On ne saurait mieux comparer l'absurdité des demi-mesures qu'à celles des mesures absolues.
- Le Christ a pardonné à la femme adultère. Parbleu ! Ce n'était pas la sienne.
- La jeunesse est le plus grand des biens ; la vieillesse la pire des disgrâces. Elle n’est profitable qu’à l’alcool.
- C’est à l’homme de réparer, lorsque ses moyens le lui permettent, les petites injustices du bon Dieu.
- Les femmes dont on dit qu'elles ont été belles ont le même intérêt que les pièces démonétisées dont on dit qu'elles ont été bonnes.
- Mieux que n’importe quel médecin au monde, la Nature sait ce qui nous convient.
- Il y a des gens chez lesquels la simple certitude de pouvoir les satisfaire fait naître des besoins spontanés.
- Il est certain, que quoi qu’on fasse, on est toujours le fantoche de quelqu’un. C’est un malheur dont on ne meurt pas.
- Dis ce que tu penses. Paye ce que tu dois. Ne vends pas plus cher que ça ne vaut.
- Il en est des femmes comme des fous : il ne faut pas les défier.
- Pourquoi donc, dans un groupe de femmes bavardant comme des perruches, la conversation cesse-t-elle aussitôt qu'un monsieur s'approche ?
- Il faut éviter le paradoxe, comme une fille publique qu'il est, avec laquelle on couche à l'occasion, pour rire, mais qu'un fou, seul, épouserait.
- Je ne vois nulle honte à être un “vieux cochonâ€, mais je trouve beaucoup de ridicule à être un vieil imbécile.
- Et pendant que les années passent, les idées marchent.
- Il n’est pas de genres inférieurs, il n’est que des productions ratées.
- Il est des gens trop haut placés par la dignité de leur vie, par la noblesse de leur caractère, par la nature même des fonctions qu'ils exercent, pour que la moindre éclaboussure atteigne seulement jusqu'à leurs semelles.
- S'il fallait tolérer aux autres tout ce qu'on se permet à soi-même, la vie ne serait plus tenable.