Les sabliers ne servent pas seulement à nous rappeler la fuite du temps, ils évoquent également la poussière que nous deviendrons un jour.
Citation sur la vie de Georg Christoph Lichtenberg :Les sabliers ne servent pas seulement à nous rappeler la fuite du temps, ils évoquent également la poussière que nous deviendrons un jour.
Georg Christoph Lichtenberg est l'auteur de la citation sur la vie "Les sabliers ne servent pas seulement à nous rappeler la fuite du temps, ils évoquent également la poussière que nous deviendrons un jour.".
Georg Christoph Lichtenberg est également l'auteur des citations :
- Ce qu'il y a de plus profitable dans notre vie, généralement, personne ne nous l'a appris.
- La mort est une valeur invariable alors que la douleur est une variable susceptible de croître indéfiniment.
- En ce monde, on vit mieux en disant la bonne aventure qu'en disant la vérité.
- Dieu créa l'homme à son image, dit la Bible ; les philosophes font le contraire, ils créent Dieu à la leur.
- Ce qui caractérise le mieux la vraie liberté est son juste usage, et l’abus qu’on en fait.
- Ce qui ne remplit pas le coeur remplit la bouche. J’ai plus souvent éprouvé cette vérité que son contraire.
- Efforce-toi de pas être de ton temps.
- Un long bonheur s’affaiblit par le fait même de sa durée.
- Le chien est l'animal le plus vigilant ; pourtant, il dort toute la journée.
- La mort d’un homme de talent m’attriste toujours, puisque le monde en a plus besoin que le ciel.
- Il est impossible de porter à travers la foule le flambeau de la vérité sans roussir ici et là une barbe ou une perruque.
- Une grande partie du génie réside dans la capacité de tirer profit, pour soi et sa science, de tous les incidents de la vie.
- Il se livrait au trafic d’opinions : il était professeur de philosophie.
- Les gens qui jamais n’ont le temps sont ceux qui le moins accomplissent.
- Il n'y avait en vérité que deux personnes au monde qu'il aimait ardemment : l'une était son plus grand flatteur et l'autre était lui-même.
- Lorsqu’on donne une heure à un condamné à mort, cette heure a la valeur d’une vie entière.