Une vie touche une autre vie, laquelle touche une troisième et très vite les enchaînements se font innombrables, impossibles à calculer.
Citation sur la vie de Paul Auster :Une vie touche une autre vie, laquelle touche une troisième et très vite les enchaînements se font innombrables, impossibles à calculer.
Paul Auster est l'auteur de la citation sur la vie "Une vie touche une autre vie, laquelle touche une troisième et très vite les enchaînements se font innombrables, impossibles à calculer.".
Paul Auster est également l'auteur des citations :
- Nous sommes tous étrangers à nous-mêmes, et si nous avons le moindre sens de qui nous sommes, c'est seulement parce que nous vivons à l'intérieur du regard d'autrui.
- En général les vies semblent virer abruptement d’une chose à une autre, se bousculer, se cogner, se tortiller.
- Les chances perdues font autant partie de la vie que les chances saisies, et une histoire ne peut s’attarder sur ce qui aurait pu avoir lieu.
- Chaque souffle de vie nous prépare à mieux savourer notre propre fin.
- Tout homme est l'auteur de sa propre vie.
- Un mensonge ne peut jamais être effacé. Même la vérité n’y suffit pas.
- Une vie n'appartient qu'à celui qui la vit ; la vie elle-même revendiquera les vivants ; vivre c'est laisser vivre.
- Une voix de femme qui parle, qui raconte des histoires de vie et de mort, a le pouvoir de donner la vie.
- L’écriture est une occupation solitaire qui accapare votre vie. Dans un certain sens, un écrivain n’a pas de vie propre. Même lorsqu’il est là il n’est pas vraiment là .
- Il y a de l'espoir pour tout le monde, c'est ce qui fait tourner l'univers.
- L'imagination, c'est l'art de donner vie à ce qui n'existe pas, de persuader les autres d'accepter un monde qui n'est pas vraiment là .
- Le dedans et le dehors ne peuvent être séparés sans causer de grands dommages à la vérité.
- On arrive à un certain point de la vie et puis il est trop tard pour changer.
- Dès lors que l'on jette sa vie à tous les vents, on découvre des choses qu'on avait jamais soupçonnées, qu'on ne peut apprendre en nulle autre circonstance.
- Vient un moment où un homme peut choisir la mort plutôt que la vie.
- C’est ce qu’on apprend de la vie en fin de compte : combien elle est étrange.
- Les vies n’ont pas de sens. Quelqu’un vit, puis meurt, et ce qui se passe entre les deux n’a pas de sens.
- La plupart des gens ne font pas attention. Ils voient les mots comme des rocs, de grands objets impossibles à déplacer et sans vie, des nomades qui ne changent jamais.
- S’intéresser aux mots, s’investir dans ce qui est écrit, croire au pouvoir des livres - voilà qui submerge tout le reste, et en comparaison notre propre vie se rapetisse considérablement.
- Il y a un monde de différence entre faire une chose et y penser. Sans cette distinction, la vie serait impossible.
- Même un enfant sait que la vérité peut être utilisée à des fins trompeuses.
- Il est pourtant des choses du temps jadis qui te manquent, même si tu n'as aucun désir de voir revenir ces jours anciens.
- Nous sommes tous victimes de quelque chose, ne fût-ce que d'être en vie.
- Le mariage : un marais, un exercice d’auto-mystification qui dure la vie entière.
- Nos vies nous emportent selon des modes que nous ne pouvons maîtriser, et presque rien ne nous reste.