On est toujours quelque chose comme serpent, arbre, bétail ou homme ou femme avant d’entrer dans le ventre de sa maman. On appelle ça la vie avant la vie.
Citation sur la vie d'Ahmadou Kourouma :On est toujours quelque chose comme serpent, arbre, bétail ou homme ou femme avant d’entrer dans le ventre de sa maman. On appelle ça la vie avant la vie.
Ahmadou Kourouma est l'auteur de la citation sur la vie "On est toujours quelque chose comme serpent, arbre, bétail ou homme ou femme avant d’entrer dans le ventre de sa maman. On appelle ça la vie avant la vie.".
Ahmadou Kourouma est également l'auteur des citations :
- Même en plein harmattan, le soleil de temps en temps, s'arrête en demandant aux nuages de le voiler.
- Les peuples n'ont pas le temps de tourner, de soupeser, de comparer, les actes d'un président.
- Le chasseur à l'affût, de temps en temps, interrompt la poursuite pour chiquer son tabac.
- La vérité et le mensonge ne sont jamais loin de l'autre et rarement la vérité triomphe.
- Il y a dans la vie deux sortes de destins : ceux qui ouvrent les pistes dans la grande brousse de la vie et ceux qui suivent ces pistes ouvertes.
- Un homme se réalise pleinement dès qu'il se libère du distinguo entre vérité et mensonge.
- La mort d'un seul combattant ne suffit pas à arrêter le combat.
- On ne doit pas regarder dans la bouche de celui qu'on a chargé de décortiquer les arachides de la communauté : il faut faire confiance au chef.
- La pauvreté dans la liberté est préférable à la soumission dans l'opulence.
- A vouloir balancer trop loin le crapaud, on finit par le jeter dans le bonheur d'une mare.
- Pour qu'il n'y ait pas de mensonge d'Etat, il faut qu'il n'y ait pas de vérité d'Etat.
- Il existe deux sortes de cécité sur cette terre : les aveugles de la vue et les aveugles de la vie.
- Quand on voit les souris s'amuser sur la peau du chat, on mesure le défi que la mort peut nous infliger.
- La vie est toujours douloureuse pour les gens qui aiment ceux qui les excluent et méprisent ceux qui les acceptent.
- Il arrive à un homme de se tromper dans la vie sur un plat de nourriture qui lui est réservé, mais jamais sur les paroles qui lui sont destinées.