J'approche tout doucement du moment où les philosophes et les imbéciles ont la même destinée.
Citation sur la vie de Voltaire :J'approche tout doucement du moment où les philosophes et les imbéciles ont la même destinée.
Voltaire est l'auteur de la citation sur la vie "J'approche tout doucement du moment où les philosophes et les imbéciles ont la même destinée.".
Voltaire est également l'auteur des citations :
- Toutes les grandeurs de ce monde ne valent pas un(e) bon(nne) ami(e).
- Le présent accouche de l'avenir.
- La beauté plaît aux yeux, la douceur charme l'âme.
- J'ai décidé d'être heureux parce que c'est bon pour la santé.
- Le malheur des uns fait le bonheur des autres.
- C'est n'être bon à rien que n'être bon qu'à soi.
- Une bonne année répare le dommage des deux mauvaises.
- Le bonheur est souvent la seule chose qu'on puisse donner sans l'avoir et c'est en le donnant qu'on l'acquiert.
- Quand on a tout perdu, quand on n'a plus d'espoir, La vie est un opprobre et la mort un devoir.
- La vérité est un fruit qui ne doit être cueilli que s'il est tout à fait mûr.
- Vous devez passer votre vie à aimer et à penser ; c'est la véritable vie des esprits.
- La vie n'est que de l'ennui ou de la crème fouettée.
- Il y a plusieurs manières de perdre son temps : ne rien faire, mal faire ce qu'il faudrait faire, le faire au mauvais moment.
- Je joue avec la vie, madame ; elle n'est bonne qu'à cela.
- La poésie est une espèce de musique : il faut l'entendre pour en juger.
- Courtes lettres et longues amitiés, tel est ma devise.
- Travaillons sans raisonner ; c'est le seul moyen de rendre la vie supportable.
- L'amitié d'un grand homme est un bienfait des dieux.
- Redisons tous les jours à tous les hommes : “la morale est une, elle vient de Dieu ; les dogmes sont différents, ils viennent de nous”.
- L'humilité est le contrepoison de l'orgueil.
- L'enthousiasme est une maladie qui se gagne.
- Les sauvages ne s'avisent point de se tuer par dégoût de la vie ; c'est un raffinement de gens d'esprit.
- Qui veut détruire les passions, au lieu de les régler, veut faire l’ange.
- Le temps, qui seul fait la réputation des hommes, rend à la fin leurs défauts respectables.
- C'est la superstition qui a fait immoler des victimes humaines, c'est la nécessité qui les a fait manger.
- La raison humaine est si peu capable de démontrer par elle-même l'immortalité de l'âme que la religion a été obligée de nous la révéler.
- On doit des égards aux vivants ; on ne doit aux morts que la vérité.
- On aime la vie, mais le néant ne laisse pas d’avoir du bon.
- Les abus invétérés ne se corrigent qu'avec le temps.
- L'amour. C'est l'étoffe de la nature que l'imagination a brodée.
- La politique est l'art de mentir à propos.
- Si l'opinion est la reine du monde, les philosophes gouvernent cette reine.
- Celui qui soutient sa folie par le meurtre, est un fanatique.
- Pour faire un bon livre, il faut un temps prodigieux et la patience d’un saint.
- Il n’y a peut-être rien de si fou que de croire avoir toujours raison.
- On la nomme (l'opinion) la reine du monde ; elle l'est si bien, que quand la raison veut la combattre, la raison est condamnée à mort.
- La raison est la fille du temps, et elle attend tout de son père.
- Pourquoi existe-t-il tant de mal, tout étant formé par un Dieu que tous les théistes se sont accordés à nommer bon ?
- L'habile homme est celui qui fait un grand usage de ce qu'il sait ; le capable peut, et l'habile exécute.
- La discorde est le plus grand mal du genre humain, et la tolérance en est le seul remède.
- Le temps est assez long pour quiconque en profite ; Qui travaille et qui pense en étend la limite.
- Dans ce pays-ci il est bon de tuer de temps en temps un amiral pour encourager les autres.
- Non, si vous voulez rendre la religion chrétienne aimable, ne parlez jamais de martyrs ; nous en avons fait cent fois plus que les païens.
- La philosophie, cette sœur de la religion, a désarmé des mains que la superstition avait si longtemps ensanglantées.
- Quel est donc la destinée du genre humain ? Presque nul grand peuple n'est gouverné par lui-même.
- Les Français ne sont pas faits pour la liberté. Ils en abuseraient.
- Quand la gravité n'est que dans le maintien, comme il arrive très souvent, on dit gravement des inepties.
- Le temps adoucit tout.
- Telle est donc la condition humaine que souhaiter la grandeur de son pays, c'est souhaiter du mal à ses voisins.
- Bien des erreurs sont nées d'une vérité dont on abuse.
- Ce monde, ce théâtre et d’orgueil et d’erreur, Est plein d’infortunés qui parlent de bonheur.
- Le pays où le commerce est le plus libre sera toujours le plus riche et le plus florissant, proportion gardée.
- Ce que nous appelons le hasard n'est et ne peut être que la cause ignorée d'un effet connu.
- Toute plaisanterie doit être courte, et même le sérieux devrait bien être court aussi.
- C'est d'ordinaire une besogne épineuse : on néglige ce qui précède et ce qui suit l'endroit qu'on cite, et on s'expose à mille querelles.
- Un instant de bonheur vaut mille ans dans l’histoire.
- On meurt en détail.
- Par tout pays, la religion dominante, quand elle ne persécute point, engloutit à la longue toutes les autres.
- Les inventions les plus étonnantes et les plus utiles ne sont pas celles qui font le plus d’honneur à l’esprit humain.
- Le bonheur est un bien que nous vend la nature.
- Un seul mauvais exemple, une fois donné, est capable de corrompre toute une nation, et l’habitude devient une tyrannie.
- Quand je vous aurai bien répété que la vie est un enfant qu'il faut bercer jusqu'à ce qu'il s'endorme, j'aurai dit tout ce que je sais.
- Que toute loi soit claire, uniforme et précise : l'interpréter, c'est presque toujours la corrompre.
- On apprend tout aux hommes, la vertu, la religion.
- Ce qu'il y a de pis, c'est que la guerre est un fléau inévitable.
- Le bonheur n’était autrefois qu’une heure fortunée.
- Notre tempérament fait toutes les qualités de notre âme.
- Il faut, en mourant, laisser des marques d’amitié à ses amis, le repentir à ses ennemis, et sa réputation entres les mains du public.
- En tout temps, en tous lieux, le public est injuste.
- La douleur est aussi nécessaire que la mort.
- Nous respectons plus les morts que les vivants. Il aurait fallu respecter les uns et les autres.
- Il n'y a que les ouvriers qui sachent le prix du temps ; ils se le font toujours payer.
- La gloire est la réputation jointe à l'estime ; elle est au comble, quand l'admiration s'y joint.
- La loi naturelle est l’instinct qui nous fait sentir la justice.
- La fable est la soeur aînée de l'histoire.
- Aime la vérité, mais pardonne l'erreur.
- L'instant où nous naissons est un pas vers la mort.
- Toute secte, en quelque genre que ce puisse être, est le ralliement du doute et de l'erreur.
- Le bonheur est un mot abstrait composé de quelques idées de plaisir.
- Dieu a mis dans tous les coeurs la conscience du bien avec quelque inclination pour le mal.
- Ceux qui cherchent des causes métaphysiques au rire ne sont pas gais.
- Nous cherchons tous le bonheur, mais sans savoir où, comme les ivrognes qui cherchent leur maison, sachant confusément qu'ils en ont une.
- Si l’homme était parfait, il serait Dieu.
- Le meilleur gouvernement est celui où il y a le moins d'hommes inutiles.
- L'alphabet fut l'origine de toutes les connaissances de l'homme et de toutes ses sottises.
- Remarquez que les temps les plus superstitieux ont toujours été ceux des plus horribles crimes.
- Les superstitieux sont dans la société ce que les poltrons sont dans une armée : ils ont, et donnent des terreurs paniques.
- L’intérêt que j’ai à croire une chose n’est pas une preuve de l’existence de cette chose.
- Le fanatisme est un monstre mille fois plus dangereux que l'athéisme philosophique.
- Les vérités sont des fruits qui ne doivent être cueillis que bien murs.
- En philosophie, il faut se défier de ce qu'on croit entendre trop aisément, aussi bien des choses qu'on n'entend pas.
- Ce n’est pas notre condition, c’est la trempe de notre âme qui nous rend heureux.
- Si mes amis sont heureux, Je serai moins misérable.
- C’est à un instinct mécanique, qui est chez la plupart des hommes, que nous devons tous les arts, et nullement à la saine philosophie.
- Gouverne qui peut ; et quand on est parvenu à être le maître, on gouverne comme on peut.
- Quand la vérité est évidente, il est impossible qu'il s'élève des partis et des factions. Jamais on n'a disputé s'il fait jour à midi.
- Je préférerai toujours les choses aux mots, et la pensée à la rime.
- Il y a des gens qui prétendent que l'humanité, l'indulgence et la liberté de conscience font des choses horribles; mais en bonne foi, auraient-elles produit des calamités ?
- C’est l’amour de nous-mêmes qui assiste l’amour des autres ; c’est par nos besoins mutuels que nous sommes utiles au genre humain.
- Le plaisir est plus rapide que le bonheur et le bonheur que la félicité.
- Je crois, toutes réflexions faites, qu'il ne faut jamais penser à la mort ; cette pensée n'est bonne qu'à empoisonner la vie ; la grande affaire est de ne point souffrir.